je me suis fait frapper sur mon lieu de travail

Jesuis développeur web. Je passe 5 jours par semaine, 8 à 10 heures par jour devant mon PC sur une chaise. Je veux être en pleine forme. Je ne veux pas dire que je veux être un peu plus fort que la personne moyenne, ou être capable de courir un peu plus loin.Je me fiche de ce à quoi je ressemble par rapport à la personne moyenne. Ily a 4 types de phrases : la phrase déclarative, la phrase interrogative, la phrase exclamative et la phrase impérative. On peut mettre chacune de ces phrases soit à la forme affirmative ou négative. La phrase déclarative : . Elle sert à : - constater ou déclarer quelque chose Salutles filles, J'écris pour raconter un truc pas joyeux du tout qui m'est arrivée cette après-midi. Vers 16h, je Lefait que plusieurs salariés soient concernés n'exclut pas en soi le harcèlement: il peut y avoir des cas de harcèlement généralisé, sur l'ensemble de Jefais suite à votre annonce et je suis vivement intéressée par celle-ci. Je suis relectrice/correctrice pour une Société d'Edition et secrétaire depuis plus de 35 ans. Je peux vous adresser, à toutes fins utiles, mon parcours professionnel. Il me serait agréable de pouvoir échanger avec vous sur votre attente en vue de la publication Site De Rencontre Pour Amour Platonique. D'habitude je me fait pas frapper le week-end parce que j'évite le plus possible de sortir, mais là j'étais obligé. Résultat sûrement un coquard demain... / Je mettrais une photo pour vous montrer à quel point je me fais martyriser de manière stupide. ~ ~ Victime Ecrit par [Kscade] », via mobile 22 février 2014 à 213540 Victime » Rigole pas avec ça T'as de la chance, les mecs comme toi d'habitude je les mets au bûchers La prochaine fois, peut-être que je serais moins indulgent Ecrit par Skaiil », 22 février 2014 à 213834 T'étais à une manif ? » Non c'était moi met la photo maintenant, marre de faire du suspens inutile Pourquoi tu t'es fait frapper ? Je sais pas Devil, je sais pas. sale victime.. Ecrit par FantomeTAB5 », 22 février 2014 à 220937 sale victime.. » C'est vraiment pas drôle. Otibe a découvert le miroir Moi je sais , Il s'est tartiner du rouge à levres sur la gueules , et son père l'a vu Puis paf . WAIT.. J'attends la photo Il s'est fait tapé par Moussa-BruleurDeVwatur au CDI alors qu'il lisait le nouveau numéro du Journal Wapiti auquel il était abonné; un reportage sur les phoques. - azy tu li koi twa dou tu li lé elephan halouf la c du halouf fo pa voir jte tape la *droite dans l'oeil* - oin oin Putain mais rigolez pas de ça. Victime de harcèlement en ligne comment réagir ? Une violente dispute éclate entre deux salariés. Elle dégénère. Un échange de coups a lieu, provoquant des blessures plus ou moins graves. Vous venez d’être alerté. Quels sont les bons réflexes à avoir et les erreurs à éviter ?Prenez immédiatement les mesures nécessaires Si l’altercation n’est pas terminée, il faut la faire cesser sur-le-champ. Mais en général, quand vous en êtes informé, la situation est redevenue calme. Deux actions essentielles sont aussitôt à effectuer. Vérifiez si l’un de vos salariés concernés a été blessé Dans ce cas, il s’agit d’un accident du travail. Il est alors obligatoire de faire accompagner le salarié chez son médecin traitant ou aux urgences afin qu’il puisse recevoir des soins, puis d’établir une déclaration d’accident de travail. Ne prenez jamais le risque de laisser le salarié quitter seul l’entreprise en état de faiblesse. Un accident pourrait survenir sur le trajet et votre responsabilité pourrait être mise en jeu. Mettez immédiatement à pied les responsables à titre conservatoire Un trouble comme celui-ci ne doit pas se reproduire. Il est préférable que le ou les fautifs quittent l’entreprise dans l’attente d’une sanction disciplinaire ou d’un licenciement pour faute grave. Dans ce cas, indiquez aux salariés qu’ils sont placés en mise à pied à titre conservatoire pour une durée indéterminée le temps pour vous de prendre une décision sur les suites à donner et qu’ils doivent quitter l’entreprise sur-le-champ. Effectuez des recherches pour savoir ce qui s’est réellement passé Une altercation constitue une faute et peut entraîner une sanction pouvant aller jusqu’au licenciement. Mais il est important de ne pas agir dans la précipitation, de rechercher ce qui s’est exactement passé et de réunir les preuves nécessaires pour constituer un dossier. Vous devez absolument déterminer quel est le salarié qui a déclenché la bagarre. En effet, les juges ont sanctionné un employeur qui avait licencié un salarié pour faute grave sans avoir préalablement recherché si ce dernier avait été l'instigateur de la rixe. Comment procéder ? Recherchez des témoins Les salariés sont souvent réticents à l’idée de témoigner contre leurs collègues. Cependant, les faits sont graves et il faudra vous montrer persuasif. Mettez en avant l’intérêt de l’entreprise et le fait que ce type de comportement nuit à l’ensemble des salariés et à leur sécurité. Il est nécessaire de faire rédiger des attestations par écrit. Constituez un dossier disciplinaire Dans l’optique d’une probable sanction, il est important de disposer d’éléments tangibles à opposer aux salariés concernés, tels que les attestations de témoins mentionnées ci-dessus. Il est par ailleurs souhaitable d’obtenir la copie de l’éventuel arrêt de travail du ou des blessés et d’en vérifier la durée. Ce sera un élément permettant d’apprécier la gravité des faits. Vous pouvez rappeler à la victime la possibilité de porter plainte contre son agresseur. Elle sera versée au dossier et pourra s’avérer utile en cas de contentieux ultérieur devant le conseil de prud’hommes. Prenez les sanctions nécessaires dans le respect de la procédure En fonction de la gravité de la situation, vous serez face à un triple choix ne pas sanctionner ; prendre une sanction légère ; ou licencier. Ne pas sanctionner serait certainement la solution la moins adaptée. En effet, de tels comportements sont très graves ! Ne prendre aucune sanction pourrait laisser penser aux autres salariés que des incidents de cette sorte pourraient être répétés sans crainte. Mais c’est bien sûr à vous qu’il revient de juger de l’opportunité et du choix de la sanction. Les sanctions moins lourdes qu’un licenciement Vous pouvez opter pour un simple avertissement, une mise à pied disciplinaire, une mutation disciplinaire ou une rétrogradation. Pour toutes les sanctions autres qu’un avertissement, vous avez l’obligation de convoquer le salarié à un entretien préalable, par lettre recommandée avec accusé de réception LRAR ou remise en main propre contre décharge, dans un délai maximum de 2 mois suivant les faits. Pour être certain de ne rien omettre dans ce courrier, vous pouvez utiliser le modèle de convocation à un entretien préalable à une sanction disciplinaire autre qu’un licenciement que nous mettons à votre disposition. Il ne vous reste plus qu’à le personnaliser. Aucun délai minimum n’est prévu par la loi entre la date de la convocation et celle de l’entretien. Toutefois, il semble raisonnable de laisser au salarié un délai de 3 ou 4 jours pour se préparer. Une fois que l’entretien a eu lieu, vous serez mieux à même de choisir la sanction adaptée. Cette dernière devra être notifiée au salarié par LRAR ou remise en mains propres contre décharge. La notification ne peut intervenir moins de 2 jours ouvrables, ni plus d’1 mois après le jour fixé pour l'entretien Code du travail, art. L. 1332-2. Pour ne commettre aucune erreur, n’hésitez pas à vos référer aux chapitres dédiés à cette matière au sein de la publication Gérer le personnel ». Le licenciement pour faute grave C’est la sanction la plus lourde. Avant de prendre une telle décision, il est important de tenir compte de l’âge du salarié, de son ancienneté et de l’existence d’un éventuel dossier disciplinaire. Encore une fois, vous avez tout intérêt à préparer un dossier comprenant, dans la mesure du possible, attestations de témoins et autres preuves. Dès lors que si le salarié décide de contester le motif de son licenciement devant le conseil des prud’hommes et que celui-ci considère que la faute n’est pas suffisamment grave, vous devrez payer le préavis et l’indemnité de licenciement. Si les conseillers prud’homaux estiment que le licenciement est sans cause, vous pourrez être condamné à verser, en plus des frais de justice, des dommages et intérêts. Si l’hypothèse est simple, la réponse ne l’est pas tant. Imaginons qu’un salarié ressente des douleurs avant de démarrer sa journée de travail. Il se rend néanmoins sur son lieu d’exercice, où il est victime d’un malaise. Est-on en présence d’un accident du travail ? Avocats PICOVSCHI apporte quelques réponses à travers cet article, qui ne sauraient en aucun cas se substituer à une consultation juridique adaptée à votre situation. Accident du travail quelle définition ? L’article L411-1 du Code de la sécurité sociale prévoit qu’ Est considéré comme accident du travail, quelle qu'en soit la cause, l'accident survenu par le fait ou à l'occasion du travail à toute personne salariée ou travaillant, à quelque titre ou en quelque lieu que ce soit, pour un ou plusieurs employeurs ou chefs d'entreprise ». Ainsi deux situations sont couvertes par le fait du travail ou à l’occasion du travail. La deuxième situation soulève plusieurs questions, notamment dans l’hypothèse où le salarié serait préalablement à sa venue au travail souffrant, et qu’il fait l’objet d’un malaise, est-ce un accident de travail ou non ? L’accident de travail se caractérise généralement par sa soudaineté, caractéristique le différenciant de la maladie professionnelle. Toutefois, il existe des exceptions, car certaines maladies contagieuses qui auraient été contractées à l’occasion du travail peuvent être considérées comme un accident de travail. Il faut également que le salarié justifie d’une lésion corporelle suite au fait accidentel pour que ce dernier soit considéré comme un accident de travail. Faire l’objet d’un malaise sur son lieu de travail présumé comme étant un accident de travail par les juges Les règles en matière de droit du travail partent du principe que si le malaise intervient sur le lieu de travail, l’accident est présumé être un accident du travail. Cette présomption ne pourra être renversée que si la caisse primaire d’assurance maladie ou l’employeur parviennent à prouver que le malaise a une cause totalement étrangère au travail. Autrement dit, même si le salarié souffrait d’un état pathologique antérieur à sa prise de fonction, le malaise survenu sur le lieu de travail sera qualifié d’accident du travail, à moins qu’il ne soit apporté la preuve contraire. Dès lors que les conditions de travail ont une incidence dans la réalisation du malaise, il sera considéré comme imputable au travail, même si le salarié souffrait antérieurement à sa prise de fonction. Les conséquences de la qualification d’accident du travail La qualification ou non d’accident du travail a une importance toute particulière pour le salarié et l’employeur. Le salarié victime d’un accident de travail bénéficie ainsi d’indemnités journalières de la sécurité sociale suite à son arrêt de travail mais également d’un complément versé par l’employeur sans aucun jour de carence. Par ailleurs, il ne peut pas faire l’objet d’un licenciement pendant la période d’arrêt sauf pour faute grave ou pour un motif non lié à l’accident. Le droit du travail, matière éminemment évolutive, doit conduire les employeurs comme les salariés à s’entourer d’un maximum de précautions. Rappelons que l’employeur a un devoir de sécurité qui s’il n’est pas respecté entraine des sanctions. Que vous soyez employeur ou salarié, vous vous sentez démunis face à la situation où un salarié a fait l’objet d’un malaise sur le lieu de travail, contacter un avocat en droit du travail. Avec Avocats PICOVSCHI vous trouverez les solutions à votre problème. Votre avis nous intéresse Bonjour ce message est très long mais j'ai cumulé pas mal de soucis..., J'ai quelques soucis sur mon lieu de travail et j'ai besoin de conseils. Je travail depuis un peu plus d'un an dans une très grosse boite, je suis jeune et c'est mon premier poste. Au bout de quelques mois je me suis rendue compte que j'étais la seule à bosser, que ma chef m'attribuait une grande partie du travail alors que nous sommes deux sur mon portefeuille. Un jour où je n'en pouvais plus, je lui ai clairement et sans doute maladroitement dit. Après c'était la catastrophe, ma chef aurait confié à un autre chef "je vais me la faire", je vivais dans la crainte quotidienne qu'il se passe quelques chose... Au final, étant donné qu'elle a déjà eu plusieurs rapport pour harcèlement, y compris par ses propres supérieurs, ma chef s'est faite virée. Entre temps, avec ma collègue avec qui je m'entendais bien à la base, la situation s'est dégradée. J'ai appris qu'elle avait demandé à changé de poste sans m'en informé puis qu'elle s'était pas mal plainte de moi auprès de ma chef qui s'est faite virée depuis et pourtant à une période où j'étais la seule à bosser... Aujourd'hui, la situation est exécrable. Il se trouve qu'elle était là depuis deux ans à mon arrivée, qu'elle est bien vue car toujours agréable et souriante il n'y a qu'à moi qu'elle dit qu'elle se fout de la gueule de tout le monde....mais du coup il n'y a que moi qui le sait. J'ai fait l'erreur de me plaindre à plusieurs de mes collègues ainsi qu'à mon nouveau chef, qui l'apprécie beaucoup, et maintenant ces collègues ne me parlent quasiment plus. A savoir que je suis la deuxième personne en deux ans avec qui ça ne se passe pas bien avec ma collègue. Pour couronner le tout, je me suis beaucoup rapprochée durant cette année d'un de mes collègues. Il a la réputation d'être un homme à femme mais il se confiait sur ses aventures etc quand nous étions ensembles et on rigolait pas mal. On se voyait beaucoup en dehors du boulot, m'a fait rencontré sa copine avec qui il est depuis 10 ans, ses amis d'enfance... Je ne pensais pas du tout qu'il était intéressé malgré les avertissements de mes amis quand on est intéressé par quelqu'un on ne lui parle par de ses plans culs ?!?. Malheureusement il a tenté de m'embrasser il y quelques semaines et j'ai mis le holà. Le problème c'est que durant un an je me suis beaucoup confiée à lui et que nous nous sommes beaucoup disputés. A force, il s'est énormément rapproché d'une autre collègue, qui, selon la secrétaire, a monté beaucoup de monde contre moi ce qui m'étonne parce que la collègue en question, je dois la croiser une fois toutes les trois semaines dans un couloir donc bon..., y compris lui j'ai l'impression. Il n'y a pas longtemps il m'a dit que tout ce que je lui avais raconté sur l'ambiance au boulot était des conneries et que tout était dans ma tête. Que je me fais des films et que je suis parano... De même, son chef ne m'aime pas et lui a dit que ma boîte voulait me virer mais qu'ils ne le faisaient pas pq je faisais du bon boulot. Depuis mon collègue ne veut plus qu'on nous voit ensemble, ne veut surtout pas bosser avec moi. Je crois qu'il a balancé beaucoup de choses à mon propos et qu'il se plaint volontiers de moi auprès de la collègue dont il s'est rapproché. Je me sens manipulée et prise pour une imbécile. Pour couronner le tout, je sais que certaines personnes de ma hiérarchie ne m'apprécient pas trop à cause de mon franc parler. Mon ancienne n+4 m'a dit que j'avais agacé tout le monde avec mes problèmes mais que les chefs qui ne m'apprécient pas c'est parce que je suis une menace pour eux, parce que je fais du très bon boulot. Que par contre c'est complètement faux, personne ne veut me virer au contraire. Mon chef m'a d'ailleurs dit qu'il n'était pas question que je parte. De même, la secrétaire me dit que toutes les histoires qui courent sur moi, c'est de la pure jalousie. Elle considère que je reste dans mon bureau toute la journée et que je suis très discrète comme personne, mais que je suis jeune, jolie, que je fais un boulot nickel et que pour les autres mes collègues sont essentiellement des nanas, ça ne passe pas.... Bref je me suis complètement isolée, à part deux trois collègues, tous les autres, y compris la hiérarchie, semble ne plus pouvoir me voir en peinture. J'ai l'impression d'avoir commis tous les faux pas possibles pour mon premier job me plaindre d'une collègue, avoir une relation extra-pro avec un collègue, avoir des mauvais rapports avec la hiérarchie.... Qu'en pensez vous, que dois-je faire ? Merci à toutes les personnes qui ont bien voulu tout lire. Je pense que ce que j'ai écrit est plutôt à ma charge, parce que j'ai conscience que je me suis un peu mise la dedans toute seule. Je souhaiterais néanmoins avoir un maximum de conseil. Toute cette situation me ronge. A présent, je ne dis plus rien, reste vraiment dans mon bureau... Mais mettre le holà avec mon collègue c'est qqn de très récent et j'ai l'impression que je vais m'en prendre plein la face j'ai dit bcp de choses par sms et la dernière fois qu'on s'est expliqué il m'a dit "j'ai rien effacé, ces msg je les garde". Un accident survenu au temps et au lieu de travail est présumé être un accident du travail. Mais qu’en est-il si votre salarié est victime, en pleine réunion par exemple, d’un infarctus ?Un de mes salariés a été victime d’un infarctus au sein des locaux de mon entreprise lors d’une réunion dont il est mort. Peut-on considérer que son décès est un accident du travail ? Accident du travail principe Rappelons qu’est considéré comme accident du travail, quelle qu'en soit la cause, l'accident survenu par le fait ou à l'occasion du travail à toute personne salariée ou travaillant, à quelque titre ou en quelque lieu que ce soit, pour un ou plusieurs employeurs ou chefs d'entreprise. Ainsi, dès lors que l’accident se produit aux temps et lieu de travail, votre salarié n’a pas à démontrer le lien de causalité entre celui-ci et le travail, mais seulement sa matérialité. Lorsqu’un malaise ou accident survient à l’un de vos salariés sur son lieu de travail, vous devez remplir un formulaire d’accident du travail à destination de la CPAM. A l’inverse, cette présomption vous oblige, si vous entendez combattre le caractère professionnel de l’accident, à apporter la preuve que la lésion a une cause totalement étrangère au travail ». Accident du travail en cas de contestation, prouver que la lésion a une cause étrangère au travail Selon la Cour de cassation, un accident qui survient au temps et au lieu de travail est présumé être un accident du travail, sauf à établir que la lésion a une cause totalement étrangère au travail. Dans une affaire soumise à son appréciation cet été, un salarié avait été victime d’un malaise cardiaque au cours d’une réunion sur son lieu de travail, lequel avait causé son décès. Ainsi, selon les Hauts juges, une cour d'appel ne saurait approuver la décision de la CPAM de ne pas prendre en charge au titre de la législation professionnelle le décès du salarié à la suite du malaise survenu sur le lieu de travail au motif que l'enquête administrative menée par celle-ci n'a révélé aucune cause de stress professionnel important mais au contraire une très bonne ambiance et que la réunion à laquelle la victime devait participer ne présentait aucune difficulté particulière que les relations de la victime avec son nouveau supérieur, arrivé au mois d'août, étaient très constructives et le dialogue très ouvert. Il n’est pas établi que la lésion a une cause totalement étrangère au travail. Le fait que le contexte professionnel soit favorable, qu’il y ait une bonne ambiance de travail, ou encore l’absence de stress ne suffisent donc pas à combattre la présomption donnant à cet accident un caractère professionnel puisque survenu au temps et au lieu de travail. Cour de cassation, 2e chambre civile, 11 juillet 2019, n° l’accident survenu au temps et au lieu du travail est présumé être un accident du travail, sauf à établir que la lésion a une cause totalement étrangère au travail

je me suis fait frapper sur mon lieu de travail